Deux géants du divertissement viennent de tracer une ligne dans le sable contre OpenAI. Studio Ghibli—la légendaire maison d'animation derrière Le Voyage de Chihiro et Mon Voisin Totoro—avec le géant du jeu Square Enix ont officiellement exigé que l'entreprise d'IA cesse d'utiliser leur propriété intellectuelle pour former Sora 2.
Ce conflit met en lumière les tensions croissantes autour des modèles d'IA qui extraient du matériel protégé par des droits d'auteur sans autorisation. Alors qu'OpenAI positionne Sora 2 comme un générateur de texte à vidéo révolutionnaire, les créateurs s'opposent fermement. Les industries de l'animation et du jeu vidéo s'appuient sur des décennies de savoir-faire artistique, et ces entreprises ne sont pas prêtes à laisser leur travail devenir une donnée d'entraînement gratuite.
C'est un cas de test critique. Si les principaux détenteurs de droits de propriété intellectuelle réussissent à imposer des restrictions sur les ensembles de données d'entraînement de l'IA, nous pourrions voir des effets d'entraînement dans tout le secteur de l'IA générative. Le résultat pourrait redéfinir la manière dont les entreprises technologiques abordent la licence de contenu—ou faire face à des batailles juridiques qui pourraient freiner l'innovation.
Pour les passionnés de crypto qui observent les projets d'IA décentralisés, ce drame centralisé offre un contraste saisissant. Les solutions basées sur la blockchain pourraient-elles fournir de meilleurs cadres pour compenser les créateurs tout en alimentant le développement de l'IA ? Le débat ne fait que commencer.
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DeFiDoctor
· Il y a 17h
Observation clinique : La coexistence des complications entre l'IA et le droit d'auteur nécessite un diagnostic urgent
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ForkItAll
· Il y a 17h
C'est fichu ! Sora a tout raté.
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VitalikFanAccount
· Il y a 17h
Hayao Miyazaki a remporté une victoire écrasante !
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pvt_key_collector
· Il y a 17h
Les bons jours de Sora sont finis.
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PonziDetector
· Il y a 18h
On ouvre le champagne, le grand-père Miyazaki est devenu fou.
Deux géants du divertissement viennent de tracer une ligne dans le sable contre OpenAI. Studio Ghibli—la légendaire maison d'animation derrière Le Voyage de Chihiro et Mon Voisin Totoro—avec le géant du jeu Square Enix ont officiellement exigé que l'entreprise d'IA cesse d'utiliser leur propriété intellectuelle pour former Sora 2.
Ce conflit met en lumière les tensions croissantes autour des modèles d'IA qui extraient du matériel protégé par des droits d'auteur sans autorisation. Alors qu'OpenAI positionne Sora 2 comme un générateur de texte à vidéo révolutionnaire, les créateurs s'opposent fermement. Les industries de l'animation et du jeu vidéo s'appuient sur des décennies de savoir-faire artistique, et ces entreprises ne sont pas prêtes à laisser leur travail devenir une donnée d'entraînement gratuite.
C'est un cas de test critique. Si les principaux détenteurs de droits de propriété intellectuelle réussissent à imposer des restrictions sur les ensembles de données d'entraînement de l'IA, nous pourrions voir des effets d'entraînement dans tout le secteur de l'IA générative. Le résultat pourrait redéfinir la manière dont les entreprises technologiques abordent la licence de contenu—ou faire face à des batailles juridiques qui pourraient freiner l'innovation.
Pour les passionnés de crypto qui observent les projets d'IA décentralisés, ce drame centralisé offre un contraste saisissant. Les solutions basées sur la blockchain pourraient-elles fournir de meilleurs cadres pour compenser les créateurs tout en alimentant le développement de l'IA ? Le débat ne fait que commencer.