Récemment, des nouvelles sont sorties des États-Unis indiquant qu'au cours des dernières décennies, ils ont de plus en plus de mal à maintenir leur position dans le commerce mondial. Le déficit commercial s'aggrave de plus en plus, surtout ces dernières années, avec une fuite importante de la fabrication, ce qui est très préoccupant.

Aujourd'hui, le grand chef de Washington est devenu nerveux, qualifiant directement cela d'"urgence économique nationale", et il a commencé à jouer la carte des droits de douane. En clair, il veut, par le biais de l'augmentation des tarifs douaniers, changer radicalement les règles du jeu et rétablir l'équilibre dans ces relations commerciales déséquilibrées.

Cette opération n'est pas anodine, et le marché mondial doit en mesurer l'impact. Après tout, une seule étincelle peut déclencher une réaction en chaîne : une guerre commerciale peut entraîner des fluctuations du dollar, une hausse de l'aversion au risque, des mouvements de capitaux, etc. Cela aura forcément des répercussions en chaîne sur nos diverses allocations d'actifs.