Eduardo Saverin est entré dans le siège de Facebook en pensant qu'il était le CFO. Il est parti comme un récit d'avertissement.
Il avait tout misé : capital, efforts, confiance en Mark Zuckerberg. Puis vint la paperasse. Ses 1,388 million d'actions (34,4 % de participation ) n'ont pas disparu du jour au lendemain. Elles ont été diluées chirurgicalement à 0,03 % à travers une restructuration coordonnée pendant qu'il était dans le bâtiment.
Ce n'était pas seulement un jeu de pouvoir dans la salle de réunion. C'était une masterclass sur la façon dont les fondateurs sont mathématiquement effacés de leur propre création.
Pourquoi cela compte maintenant :
La dilution de Saverin s'est produite grâce à une combinaison de mouvements : de nouveaux tours de financement à des valorisations plus élevées, une restructuration des actions avec droit de vote et un timing stratégique. Les calculs ont parfaitement joué contre lui :
Son pourcentage de propriété a chuté de 1,146x
Il est passé de la prise de décisions à n'avoir aucune place à la table
L'augmentation de la valorisation de l'entreprise l'a en réalité rendu plus pauvre en termes relatifs.
Le schéma se répète partout : Friendster, MySpace, d'innombrables startups ratées où les premiers croyants ont été mathématiquement exclus. C'est pourquoi la structure du tableau de capitalisation compte plus que le livre blanc.
Saverin a finalement obtenu environ 5,3 milliards de dollars lorsque Facebook est devenu public ( il a vendu tôt ), donc l'histoire a une fin dorée. Mais son exode a révélé quelque chose de brutal sur Silicon Valley : l'équité n'est réelle que si la structure de gouvernance la protège.
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De co-fondateur à zéro : Le playbook de Saverin qui a changé la technologie pour toujours
Eduardo Saverin est entré dans le siège de Facebook en pensant qu'il était le CFO. Il est parti comme un récit d'avertissement.
Il avait tout misé : capital, efforts, confiance en Mark Zuckerberg. Puis vint la paperasse. Ses 1,388 million d'actions (34,4 % de participation ) n'ont pas disparu du jour au lendemain. Elles ont été diluées chirurgicalement à 0,03 % à travers une restructuration coordonnée pendant qu'il était dans le bâtiment.
Ce n'était pas seulement un jeu de pouvoir dans la salle de réunion. C'était une masterclass sur la façon dont les fondateurs sont mathématiquement effacés de leur propre création.
Pourquoi cela compte maintenant :
La dilution de Saverin s'est produite grâce à une combinaison de mouvements : de nouveaux tours de financement à des valorisations plus élevées, une restructuration des actions avec droit de vote et un timing stratégique. Les calculs ont parfaitement joué contre lui :
Le schéma se répète partout : Friendster, MySpace, d'innombrables startups ratées où les premiers croyants ont été mathématiquement exclus. C'est pourquoi la structure du tableau de capitalisation compte plus que le livre blanc.
Saverin a finalement obtenu environ 5,3 milliards de dollars lorsque Facebook est devenu public ( il a vendu tôt ), donc l'histoire a une fin dorée. Mais son exode a révélé quelque chose de brutal sur Silicon Valley : l'équité n'est réelle que si la structure de gouvernance la protège.