L'univers de la cryptomonnaie est encore en train de débattre de la "vraie décentralisation" et de la "faux décentralisation", tandis que Wall Street a déjà commencé à resserrer les filets.
Ces bitcoins qui étaient autrefois cachés au fond des portefeuilles froids sont en train d'être discrètement transférés dans les bilans des systèmes financiers traditionnels par un groupe de riches mystérieux. Comment se fait ce transfert ? Ce n'est pas en vendant directement les jetons, ni par des transactions de gré à gré, mais plutôt par le biais des ETF bitcoin, qui ont connu un succès exceptionnel cette année — en "transférant" les jetons à l'intérieur pour les échanger contre des parts de fonds.
À quel point cette astuce est-elle efficace ? Elle permet de conserver ses jetons tout en donnant à l'actif numérique une apparence de conformité.
Beaucoup de gens ne comprennent pas du tout ce mécanisme. Ce n'est pas simplement une question d'achat et de vente, mais un "art de la conversion d'actifs" complexe. Cet été, la réglementation a ouvert une porte, permettant aux investisseurs institutionnels d'obtenir des droits clés : ils peuvent remettre les bitcoins qu'ils détiennent réellement aux gestionnaires d'ETF et les échanger directement contre des parts de fonds correspondantes, ce que l'on appelle le "rachat physique".
Cette opération a déjà été largement utilisée dans les actions et les ETF sur l'or, mais appliquée au Bitcoin ? Le sens est complètement différent — c'est comme ouvrir un passage secret vers le monde de la finance traditionnelle pour les actifs cryptographiques.
Pour les joueurs qui détiennent plusieurs milliers de jetons, c'est tout simplement un plan parfait. Avant, même si un tas de bitcoins dormait dans le portefeuille, il fallait rester sur ses gardes 24 heures sur 24 : la clé privée allait-elle se perdre ? Pourrait-on agir à temps lors d'un effondrement du marché ? Intégrer ces actifs dans une fiducie familiale ou un plan de gestion de patrimoine pour les personnes à forte valeur nette ? Ce n'est tout simplement pas réaliste, les institutions financières traditionnelles ne reconnaissent pas du tout votre adresse sur la chaîne.
Mais maintenant, c'est différent. Confier des jetons à des géants de la gestion d'actifs comme BlackRock équivaut à enfermer des "actifs sauvages" dans un coffre-fort réglementé. Les problèmes de conformité sont résolus, et il est possible d'utiliser des parts d'ETF pour des allocations plus flexibles : financement par nantissement, planification fiscale, transmission intergénérationnelle, tout devient possible.
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VirtualRichDream
· Il y a 9h
Mort de rire, ce n’est pas comme si on s’était fait repérer.
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MeaninglessApe
· Il y a 9h
Tu es vraiment doué.
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DefiEngineerJack
· Il y a 9h
*souffle* les maximalistes de la finance traditionnelle ont enfin trouvé leur alpha...
L'univers de la cryptomonnaie est encore en train de débattre de la "vraie décentralisation" et de la "faux décentralisation", tandis que Wall Street a déjà commencé à resserrer les filets.
Ces bitcoins qui étaient autrefois cachés au fond des portefeuilles froids sont en train d'être discrètement transférés dans les bilans des systèmes financiers traditionnels par un groupe de riches mystérieux. Comment se fait ce transfert ? Ce n'est pas en vendant directement les jetons, ni par des transactions de gré à gré, mais plutôt par le biais des ETF bitcoin, qui ont connu un succès exceptionnel cette année — en "transférant" les jetons à l'intérieur pour les échanger contre des parts de fonds.
À quel point cette astuce est-elle efficace ? Elle permet de conserver ses jetons tout en donnant à l'actif numérique une apparence de conformité.
Beaucoup de gens ne comprennent pas du tout ce mécanisme. Ce n'est pas simplement une question d'achat et de vente, mais un "art de la conversion d'actifs" complexe. Cet été, la réglementation a ouvert une porte, permettant aux investisseurs institutionnels d'obtenir des droits clés : ils peuvent remettre les bitcoins qu'ils détiennent réellement aux gestionnaires d'ETF et les échanger directement contre des parts de fonds correspondantes, ce que l'on appelle le "rachat physique".
Cette opération a déjà été largement utilisée dans les actions et les ETF sur l'or, mais appliquée au Bitcoin ? Le sens est complètement différent — c'est comme ouvrir un passage secret vers le monde de la finance traditionnelle pour les actifs cryptographiques.
Pour les joueurs qui détiennent plusieurs milliers de jetons, c'est tout simplement un plan parfait. Avant, même si un tas de bitcoins dormait dans le portefeuille, il fallait rester sur ses gardes 24 heures sur 24 : la clé privée allait-elle se perdre ? Pourrait-on agir à temps lors d'un effondrement du marché ? Intégrer ces actifs dans une fiducie familiale ou un plan de gestion de patrimoine pour les personnes à forte valeur nette ? Ce n'est tout simplement pas réaliste, les institutions financières traditionnelles ne reconnaissent pas du tout votre adresse sur la chaîne.
Mais maintenant, c'est différent. Confier des jetons à des géants de la gestion d'actifs comme BlackRock équivaut à enfermer des "actifs sauvages" dans un coffre-fort réglementé. Les problèmes de conformité sont résolus, et il est possible d'utiliser des parts d'ETF pour des allocations plus flexibles : financement par nantissement, planification fiscale, transmission intergénérationnelle, tout devient possible.
C'est vraiment un changeur de règles du jeu.