Cette tendance du marché cette année a presque totalement échappé aux attentes.

Le deuxième et le troisième trimestre auraient dû être la saison morte du "Vendre en mai", mais ils ont en fait été les deux trimestres avec la plus forte hausse de l'année. À l'inverse, au premier trimestre, tout le monde clamait que la saison des copies allait arriver, mais au final, ils ont presque tout perdu.

Ce qui est encore plus drôle, c'est le quatrième trimestre — la période initialement la plus prometteuse, d'abord bouleversée par la chute de la vague 10-11, et maintenant confrontée au resserrement de la liquidité.

C'est embarrassant : si tout le monde devient baissier l'année prochaine, ne risquons-nous pas de voir naître une véritable opportunité de marché haussier ? Après tout, cette cycle a prouvé une chose : l'argent est souvent le plus facile à gagner lorsque la majorité des gens sont en panique.