Lors du conférence Breakpoint, le co-fondateur et CEO de Jito, buffalu, a lâché une phrase choc —

"Dans cette course à la vitesse, Solana a déjà gagné."

Ça peut paraître exagéré, mais les chiffres sont encore plus impressionnants :

Au début de l’année, la limite de calcul d’un seul bloc sur Solana était encore fixée à 48 millions
Puis ça a flambé : 50 millions, 60 millions…
Et pour le début de l’année prochaine ? Directement doublé à 100 millions d’unités de calcul (CU)
Et cette vitesse continue d’augmenter de façon exponentielle

Certains pourraient demander : qu’est-ce qu’une unité de calcul ?

Pour faire simple —
Ethereum cherche à s’étendre, mais Solana commence à dépasser les lois physiques.

Il ne s’agit plus seulement d’optimisation des performances,
C’est une redéfinition de la vitesse maximale d’une blockchain.

**Il faut clarifier ce qu’est une "unité de calcul"**

Chaque blockchain a ses propres limites :

Combien d’opérations peuvent tenir dans un seul bloc ?
Combien de transactions peuvent être traitées par seconde ?
Le réseau peut-il s’effondrer en cas de congestion ?
Les contrats intelligents complexes peuvent-ils faire tomber toute la chaîne ?

Ethereum utilise la règle du "Gas limit".
Solana joue avec quelque chose de plus hardcore : les unités de calcul (Compute Units).

Plus le nombre d’unités de calcul est élevé, que cela signifie-t-il ?

→ Un seul bloc peut traiter plus de transactions en parallèle
→ Les contrats déployés peuvent effectuer des opérations plus complexes
→ Les échanges à haute fréquence, les protocoles DeFi, les applications natives IA peuvent être intégrés sans souci
→ Et atteindre une expérience aussi fluide que celle des exchanges centralisés

En résumé, cette valeur détermine jusqu’où peut atteindre le plafond de Solana.