Source : CryptoNewsNet
Titre original : Hedera entre dans le secteur de la défense alors que Neuron rejoint le projet DIANA de l’OTAN pour les systèmes autonomes de nouvelle génération
Lien original :
Toutes les actualités sont rigoureusement vérifiées et examinées par des experts en blockchain de renom et des insiders expérimentés de l’industrie.
On s’attend à ce que Neuron et Hedera rejoignent le projet DIANA de l’OTAN, alors que les spéculations s’intensifient.
Un chercheur a révélé que l’aBFT de Hedera est le niveau de sécurité le plus élevé dans les systèmes distribués.
Leader dans la technologie aéronautique et l’infrastructure critique du trafic aérien, Neuron, et registre distribué public Hedera, seraient en train de faire une entrée spectaculaire dans l’économie des machines et le secteur de la défense.
Selon des rapports, ils seraient en lice pour un partenariat avec l’alliance militaire intergouvernementale, l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN). Le chercheur Marco Salzmann a indiqué qu’un communiqué de presse serait publié prochainement. En attendant, “les signaux sont déjà très clairs.”
Tout sur l’OTAN et la collaboration avec Hedera
Le 10 décembre, l’OTAN a annoncé que son projet phare, l’Accélérateur d’Innovation en Défense pour l’Atlantique Nord (DIANA), sélectionnait 150 entreprises pionnières de 24 pays membres de l’OTAN pour participer au programme Défi 2026. Dans le cadre de celui-ci, les innovateurs auraient pour mission de développer des technologies à double usage pour résoudre dix défis critiques en matière de défense et de militaire.
Pour éclaircir davantage ce point, Salzmann a expliqué que le programme DIANA vise à accélérer le développement de systèmes autonomes, de systèmes de communication sécurisés, à encourager les innovations en défense pilotées par l’IA, et à améliorer les réseaux spatiaux, aériens et de capteurs.
Selon lui, les équipes sélectionnées pour le programme DIANA recevraient jusqu’à 400 000 € ($468k) de financement. Mais ce n’est pas tout. Elles auraient également accès aux 10 accélérateurs de l’OTAN et à 90 centres d’essais. De plus, elles pourraient collaborer directement avec des utilisateurs militaires finaux et bénéficier de “voies d’adoption à long terme dans les secteurs de la défense et civil.”
Salzmann pense que Neuron est un bon choix puisqu’elle est déjà utilisée pour le renseignement géospatial, le suivi en temps réel des vols, la télémétrie en edge compute, et la coordination des machines autonomes. De plus, Neuron possède un avantage puisqu’elle est construite sur Hedera.
Pour illustrer ce point, il a révélé que les systèmes de défense ont besoin d’un débit élevé, d’une finalité déterministe, d’efficacité énergétique, entre autres. Selon lui, Hedera coche toutes ces cases.
Techniquement, l’aBFT de Hedera serait le niveau de sécurité le plus élevé dans les systèmes distribués. De plus, il est conçu pour une confiance vérifiable, ce qui est l’une des exigences clés pour la technologie de défense.
Pour compléter, Salzmann a souligné que Neuron pourrait être utilisée par DIANA pour les données de localisation en temps réel, les opérations de défense transfrontalières, la coordination de drones et de véhicules aériens sans pilote (UAV), ainsi que pour des systèmes de communication sécurisés sur le champ de bataille. En résumé, le chercheur pense que la timestamp de Hedera et l’index de données de Neuron pourraient constituer une combinaison parfaite pour cette initiative.
Selon Salzmann, une confirmation officielle pourrait valider Hedera en tant que couche de confiance pour l’infrastructure critique et comme backend pour les systèmes autonomes.
Dans ce contexte, Hashgraph Ventures a sécurisé la première clôture du fonds $100 million, comme détaillé lors de discussions précédentes. De plus, la Géorgie a noué un partenariat avec Hedera pour explorer des améliorations basées sur la blockchain.
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
Hedera entre dans le secteur de la défense alors que Neuron rejoint le projet DIANA de l'OTAN pour les systèmes autonomes de nouvelle génération
Source : CryptoNewsNet Titre original : Hedera entre dans le secteur de la défense alors que Neuron rejoint le projet DIANA de l’OTAN pour les systèmes autonomes de nouvelle génération Lien original : Toutes les actualités sont rigoureusement vérifiées et examinées par des experts en blockchain de renom et des insiders expérimentés de l’industrie.
Leader dans la technologie aéronautique et l’infrastructure critique du trafic aérien, Neuron, et registre distribué public Hedera, seraient en train de faire une entrée spectaculaire dans l’économie des machines et le secteur de la défense.
Selon des rapports, ils seraient en lice pour un partenariat avec l’alliance militaire intergouvernementale, l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN). Le chercheur Marco Salzmann a indiqué qu’un communiqué de presse serait publié prochainement. En attendant, “les signaux sont déjà très clairs.”
Tout sur l’OTAN et la collaboration avec Hedera
Le 10 décembre, l’OTAN a annoncé que son projet phare, l’Accélérateur d’Innovation en Défense pour l’Atlantique Nord (DIANA), sélectionnait 150 entreprises pionnières de 24 pays membres de l’OTAN pour participer au programme Défi 2026. Dans le cadre de celui-ci, les innovateurs auraient pour mission de développer des technologies à double usage pour résoudre dix défis critiques en matière de défense et de militaire.
Pour éclaircir davantage ce point, Salzmann a expliqué que le programme DIANA vise à accélérer le développement de systèmes autonomes, de systèmes de communication sécurisés, à encourager les innovations en défense pilotées par l’IA, et à améliorer les réseaux spatiaux, aériens et de capteurs.
Selon lui, les équipes sélectionnées pour le programme DIANA recevraient jusqu’à 400 000 € ($468k) de financement. Mais ce n’est pas tout. Elles auraient également accès aux 10 accélérateurs de l’OTAN et à 90 centres d’essais. De plus, elles pourraient collaborer directement avec des utilisateurs militaires finaux et bénéficier de “voies d’adoption à long terme dans les secteurs de la défense et civil.”
Salzmann pense que Neuron est un bon choix puisqu’elle est déjà utilisée pour le renseignement géospatial, le suivi en temps réel des vols, la télémétrie en edge compute, et la coordination des machines autonomes. De plus, Neuron possède un avantage puisqu’elle est construite sur Hedera.
Pour illustrer ce point, il a révélé que les systèmes de défense ont besoin d’un débit élevé, d’une finalité déterministe, d’efficacité énergétique, entre autres. Selon lui, Hedera coche toutes ces cases.
Techniquement, l’aBFT de Hedera serait le niveau de sécurité le plus élevé dans les systèmes distribués. De plus, il est conçu pour une confiance vérifiable, ce qui est l’une des exigences clés pour la technologie de défense.
Pour compléter, Salzmann a souligné que Neuron pourrait être utilisée par DIANA pour les données de localisation en temps réel, les opérations de défense transfrontalières, la coordination de drones et de véhicules aériens sans pilote (UAV), ainsi que pour des systèmes de communication sécurisés sur le champ de bataille. En résumé, le chercheur pense que la timestamp de Hedera et l’index de données de Neuron pourraient constituer une combinaison parfaite pour cette initiative.
Selon Salzmann, une confirmation officielle pourrait valider Hedera en tant que couche de confiance pour l’infrastructure critique et comme backend pour les systèmes autonomes.
Dans ce contexte, Hashgraph Ventures a sécurisé la première clôture du fonds $100 million, comme détaillé lors de discussions précédentes. De plus, la Géorgie a noué un partenariat avec Hedera pour explorer des améliorations basées sur la blockchain.