La banque d'investissement a un côté obscur dont personne ne parle. De jeunes analystes, à peine sortis de l'université à 22 ans, enchaînent des quarts de 72 heures jusqu'à ce que leur cœur lâche littéralement. Cela arrive. Des gens meurent. Pourtant, où est l'indignation ? Où sont les publications virales ? La communauté financière reste étrangement silencieuse lorsque ce sont leurs propres qui s'effondrent. Cela fait réfléchir sur les doubles standards lorsqu'il s'agit de critiquer d'autres industries. La finance traditionnelle a construit son empire sur des heures brutales et du sacrifice, mais d'une manière ou d'une autre, ce récit ne fait jamais le tour comme celui-ci.