La zone de libre-échange africaine, d'une valeur de 3 000 milliards de dollars, s'apprête désormais à une numérisation complète.

Récemment, la blockchain haute performance Monad fait beaucoup parler d'elle, mais celle qui soutient réellement la vérification des données du commerce transfrontalier en profondeur, c’est en fait IOTA. Et ce n’est pas un projet mineur : un réseau commercial couvrant 55 pays et 1,5 milliard de personnes a besoin d’une infrastructure capable de supporter un volume massif de transactions tout en garantissant la fiabilité des données.

Regardez ces chiffres : d’ici 2035, le volume des échanges va carrément doubler, et l’amélioration de l’efficacité logistique permettra d’économiser des milliards de dollars. Plus important encore, un système d’identité numérique à l’échelle du continent, des procédures de dédouanement accélérées, des frais réduits — tout cela est en cours de réalisation.

Pour le dire simplement, la manière de transporter les marchandises, de faire circuler les données et de transférer les fonds, toute la logique est en train d’être repensée. Et l’architecture de couche de données vérifiable d’IOTA tombe à point nommé sur ce créneau crucial. Le secteur RWA devient de plus en plus concret.